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Fin des trains de nuit et suppression de 23 lignes de TET (ex-Corail) dans les cartons de la SNCF : les conséquences de la loi Macron pèsent lourd sur le service public ferroviaire.

( cette carte du réseau TET qu'ils veulent supprimer)

 

Réseau routier au bord de l’asphyxie ? Qu’importe pour réduire une dette d’un milliard et demi d’euros, la SNCF réduit ses dessertes et Macron fait un pont d’or aux transporteurs routiers en libéralisant les autocars. Une course à l’économie qui se fait sur le dos des usagers, des em-ployés du service public et au détriment des logiques de sécurité. .../....  Pour la SNCF, l’adoption d’une politique conforme à l’austérité dans laquelle le gouvernement veut s’enfoncer un peu plus avec la loi Macron, en ouvrant totalement le ferroviaire à la concurrence et ce malgré les engagements du précédent ministre des Transports, a des conséquences destructrices non seulement sur la qualité du service rendu au public, dénonce la CGT cheminots Paca mais également en terme d’emplois.

La réforme du service de transports publics ferroviaires de voyageurs passe donc par la sup-pression de lignes et de dessertes

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Le cinquième comité de suivi de la convention d’exploitation des Trains d’Équilibre du Territoire (TET) s’est tenu ce lundi 15 décembre, au ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, sous la présidence de Thierry Guimbaud, directeur des services de transprts.

2015 : relais vers une nouvelle convention
Lors de ce comité, il a été confirmé que le dispositif de la convention TET serait reconduit en 2015

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Le député girondin Gilles Savary estime que l'endettement du système ferroviaire rend caduc le projet de ligne à grande vitesse vers Toulouse et l'Espagne au-delà de Bordeaux. Il recommande la rénovation des lignes existantes.

et il ajoute : '' n'oublions pas l'option POLT : Paris-Orléans-Limoges-Toulouse. Une hypothèse prévoyait la mise en place d'un train pendulaire qui roulait à 280 km/h, à condition d'investir un milliard d'euros dans la rénovation de la voie. L'abandon de la LGV Poitiers-Limoges remet en selle ce projet. Dans tous les cas, il est indiscutable que Toulouse a besoin d'un train moderne et rapide.''

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